Consultez le dossier de presse complet en téléchargement en bas de page.
Plus de 100 actions sont ainsi prévues sur l’ensemble des départements.
En région Centre-Val de Loire, cette semaine de santé sexuelle sera axée autour de deux thématiques :
- la lutte contre toutes les discriminations, incluant les discriminations LGBT+ ; Il s’agit de relayer la campagne nationale destinée à diminuer les actes de discrimination et de violence dont sont victimes les personnes LGBT (Lesbiennes, gays, bisexuels, transgenres) et à favoriser une meilleure acceptation des minorités sexuelles au sein de la société ;
- le renforcement du dépistage du VIH, des hépatites et autres infections sexuellement transmissibles(IST) pour lutter contre le retard de diagnostic de ces maladies et proposer une offre de dépistage sur l’ensemble de la région : déploiement des actions de prévention dans toute la région et faciliter son accès pour tous.
Une semaine incontournable
Cette semaine de la santé sexuelle est incontournable pour :
- Sensibiliser le public aux questions de santé sexuelle,
- Faire connaître les lieux ressources du territoire : associations, structures de dépistage…,
- Communiquer sur les actions mises en place,
- Mobiliser massivement les professionnels de santé et acteurs locaux (associations…) pour promouvoir la santé sexuelle.
Quels acteurs ?
- Les six centres gratuits d'information, de dépistage et de diagnostic des infections par le VIH, les hépatites virales et les infections sexuellement transmissibles (CeGIDD).
- Les structures médico-sociales (CSAPA/CAARUD).
- Les acteurs associatifs.
- Et d'autres acteurs (l'Éducation Nationale...).
Où ?
La liste des évènements qui se tiendront à l’occasion de cette semaine est consultable dans le dossier de presse en téléchargement ci-dessous.
Le dépistage
Le dépistage est important : le VIH, les infections sexuellement transmissibles (IST) et les hépatites toujours présents.
La promotion du dépistage reste un enjeu crucial. Selon Santé publique France, on estime, au niveau national, qu’environ 25 000 personnes sont infectées par le VIH et l’ignorent. Le retard au dépistage accroît fortement le poids de l’épidémie, tant au plan collectif (risque de transmission) qu’au plan individuel (30 % des personnes détectées sont déjà à un stade avancé de la maladie).
Pour réaliser un test de dépistage, plusieurs choix :
- s’adresser au médecin généraliste ou un autre professionnel de santé (gynécologue, sage-femme…
- se rendre dans un laboratoire de biologie médicale (remboursement pris en charge si prescription du professionnel de santé)
- se diriger vers un centre gratuit d’information, de dépistage et de diagnostic (CeGIDD) ouvert à tout public
- s’orienter vers des associations de prévention habilitées à pratiquer des TROD
- se rendre en pharmacie pour l’achat d’un autotest